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EXPOSITION PHOTO 2016 LA GACILLY D01/10/2016
Prise de vue
A P N KODAK PIXPRO F Z 53
Prise de vue
A P N SAMSUNG S T 66
RENDEZ VOUS
POUR LA 14 ème EDITIONS
DE JUIN A FIN SEPTEMBRE 2017
L’Afrique
sera l’invitée
du Festival Photo
de la Gacilly,
en 2017.
et le thème
de la relation
de l'homme
à l'animal
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Commentaires
magnifiques et et parfois drôles ces clichés.
Après une aprem d'averse le soleil se couche en nous illuminant.
Un petit coucou cher ami pour te remercier de ton com sympa ...
Trop tard pour l'exposition ,
heureusement tes clichés en témoignent .
Bon week end et amicalement,
Christiane
Bonjour vous deux,
Ces paysages sont magnifiques, c'est très zen.
En vrai cela doit être merveilleux.
Jolies photos.
Bon week-end, bisous pour vous deux.
Bonjour mon cher Meldix
Superbes photos de cette belle expo photos, original ce "linge" qui pend sur le fil ih ih ih !!!! poisson d'avril MDR !!!!!
Me voilà en un clic dans le bel univers de ton blog pour te remercier pour ton gentil commentaire. Hier j’étais absente toute la journée et ne suis rentrée qu’en début de soirée donc je n’étais pas sur la blogo.
Avec ce joli poème (pas de moi hélas, j’ai l’âme poétesse mais ne sait pas faire de poèmes) je viens te souhaiter un excellent WE gorgé de bonheur et de soleil.
Prends bien soin de toi.
Je te fais de gros d’amitié sincère de ma belle île intense.
♥♥♥
Rayons d’octobre (I)
Nérée Beauchemin
Octobre glorieux sourit à la nature.
On dirait que l’été ranime les buissons.
Un vent frais, que l’odeur des bois fanés sature,
Sur l’herbe et sur les eaux fait courir ses frissons.
Le nuage a semé les horizons moroses,
De ses flocons d’argent. Sur la marge des prés,
Les derniers fruits d’automne, aux reflets verts et roses,
Reluisent à travers les rameaux diaprés.
Forêt verte qui passe aux tons chauds de l’orange ;
Ruisseaux où tremble un ciel pareil au ciel vernal ;
Monts aux gradins baignés d’une lumière étrange.
Quel tableau ! quel brillant paysage automnal !
À mi-côte, là-bas, la ferme ensoleillée,
Avec son toit pointu festonné de houblons,
Paraît toute rieuse et comme émerveillée
De ses éteules roux et de ses chaumes blonds.
Aux rayons dont sa vue oblique est éblouie,
L’aïeul sur le perron familier vient s’asseoir :
D’un regain de chaleur sa chair est réjouie,
Dans l’hiver du vieillard, il fait moins froid, moins noir.
Calme et doux, soupirant vers un lointain automne,
Il boit la vie avec l’air des champs et des bois,
Et cet étincelant renouveau qui l’étonne
Lui souffle au coeur l’amour des tendres autrefois.
De ses pieds délicats pressant l’escarpolette,
Un jeune enfant s’enivre au bercement rythmé,
Semblable en gentillesse à la fleur violette
Que l’arbuste balance au tiède vent de mai.
Près d’un vieux pont de bois écroulé sur la berge,
Une troupe enfantine au rire pur et clair,
Guette, sur les galets qu’un flot dormant submerge,
La sarcelle stridente et preste qui fend l’air.
Vers les puits dont la mousse a verdi la margelle,
Les lavandières vont avec les moissonneurs ;
Sous ce firmament pâle éclate de plus belle
Le charme printanier des couples ricaneurs.
Et tandis que bruit leur babillage tendre,
On les voit déroulant la chaîne de métal
Des treuils mouillés, descendre et monter et descendre
La seille d’où ruisselle une onde de cristal.
♥♥♥
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Si tu ne vas pas au mont Fuji, il viendra à toi.
Bonne nuit
@mitié